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Nous sommes au cœur du parc naturel régional Périgord-Limousin, arrosé par deux rivières: le Bandiat et la Tardoire. C’est une promenade magnifique, avec la découverte d’un tronçon du GR654 ( qui correspond à une des voies de Saint Jacques de Compostelle), de plusieurs châteaux exceptionnels comme le château de Montbrun mais aussi Châlus Chabrol, célèbre pour la bataille où Richard Cœur de Lion fut mortellement blessé en 1199. Le petit patrimoine est lui aussi remarquable ( croix de chemin en granit et moulin sur la Tardoire conservé intact).

Le départ se fait en gare de Châlus en suivant le GR 654 jusqu’à la Rougerie. Puis on poursuit toujours par de petites routes ombragées jusqu’à Dournazac. Après la traversée du bourg, direction Montbrun par la route Richard Coeur de Lion. A Montbrun, découverte d’un premier château médiéval, puis on emprunte un sentier dans la forêt jusqu’au hameau de Bord. On monte jusqu’au sommet du grand Puyconnieux (498 m) essentiellement par des chemins. Puis direction le château de Brie sur des chemins, et prolongement par une petite route jusqu’à Arsac. De là on se dirige par des chemins magnifiques jusqu’à la forêt de Cromières ( étang et château). On gagne ensuite Oradour sur Vayres par le superbe moulin de la Barbarie ( Tardoire) et on revient sur Châlus par une ancienne voie ferrée ( piste cyclable « la voie verte »). De là, juste avant la gare, on aperçoit le château de Châlus Chabrol qui domine la ville.

voici le parcours:

Cet itinéraire offre un panorama fascinant qui enjambe le lac Majeur et la couronne  des montagnes environnantes et vous permet de visualiser la structure de la logistique Cadorna, une ligne de défense militaire construite entre 1916 et 1918.

Dimanche 8 juin 2014. Nous partons vers 10h30 environ. Le chemin est d’abord ombragé, puis à découvert nous profitons du spectacle incomparable qu’offre cette vue plongeante sur le lac Majeur.

Le lac Majeur

Il fait entre 25 et 30 degrés et le ciel est totalement dégagé. Nous atteignons une fontaine puis nous accédons aux refuges utilisés pendant la première guerre mondiale par les soldats italiens qui furent finalement massacrés par les austro-hongrois. Les cavités que nous visitons ont abrité des batteries d’armes capables de tirer des projectiles de 80 kg. Malgré cet arsenal, les soldats italiens n’ont pas pu faire face…

Le retour de la promenade s’effectue par un autre sentier, en forêt où nous découvrons notamment des azalées sauvages et aussi une charbonnière reconstituée. Puis nous revenons par une route très peu fréquentée qui nous conduit jusqu’à Piancavello.

Voici notre parcours:

8 mai 2014. Nous partons de la maison du parc des Volcans ( Aydat, Puy-de-Dôme) pour une boucle qui nous prendra la journée. La balade commence par un beau chemin, d’abord à découvert au bord de la prairie, puis à travers les bois. Nous passons devant un hêtre plus que centenaire, élégant et majestueux. La pente devient très raide: nous sommes en train de grimper au sommet du Puy de Lassolas.

C’est le point culminant de la balade, nous sommes à 1187m d’altitude, et nous admirons des éboulis volcaniques de couleur rouille à nos pieds. D’ici la vue est splendide: le massif du Sancy se détache au sud-est avec encore de la neige sur ses parois.  Au nord-ouest, nous sommes encore plus près du Puy de Dôme. Nous descendons par un escalier fait de madriers et entamons ensuite l’ascension du Puy de la Vache. On grimpe également par des marches faites de madriers et en haut ce sera la pause pique-nique.

Lorsque nous repartons, Bernadette chute et se foule un poignet. Il faut dire que les madriers recouverts de terre sont devenus très glissants à cause des intempéries du printemps. Cela vaudra à notre amie un petit détour par l’hôpital de Clermont à la fin de la balade. Un magazine d’actualité  lui sera conservé en guise d’atelle…

Attelle d'occasion...

Nous empruntons des chemins très agréables dans une forêt de hêtres et nous faisons une petite erreur de parcours, vite rectifiée. Le parcours se termine par l’ascension du Puy de Vichatel, qui monte très modérément. Le retour est tranquille. Des paysages splendides, une excellente journée entre amis qui se termine dans un restaurant d’Orcival devant une truffade arrosée d’un honorable Saint-Pourçain.

Voici une galerie de photos ( par R.Mazerolas)

Une promenade hivernale par une journée splendide avec un ciel d’azur dans la pâle lumière du mois de janvier. Nous partons du magnifique château de Coussac-Bonneval pour emprunter un itinéraire qui évoque le patrimoine local. Le kaolin, découvert à Saint-Yrieix, a donné donné naissance à l’industrie de la porcelaine. Le territoire de Coussac-Bonneval possédait dés 1884 des carrières à proximité du hameau de Frougeix. Cette terre argileuse de couleur blanche est toujours visible, au bord du chemin, sur des taupinières… En revenant à Coussac, nous passons par l’Etang de la Marche, puis nous visitons à main gauche une ancienne fabrique de porcelaine reconvertie en exploitation agricole.